La Soumission De Ma Belle-SUr 3
Gaétan, qui jusquà présent avait réussi à tout contrôler, nen menait pas large. Avait-elle entendu du bruit, des mots ? Il était minuit, lheure du crime, et jamais sa femme ne sétait réveillée à cette heure-ci.
Reprenant son souffle, espérant ne rien laisser transparaitre, il lui dit :
- Jai fait trop de bruit, je tai réveillé ?
- Hum, il me semble avoir entendu des bruits non habituels, tu faisais quoi en bas ? lui dit-elle la voix éraillée par ce réveil nocturne.
- Jai dû mettre le son de la télé trop fort, pour tout dire je me suis endormi devant. Cest une scène de cris qui ma sorti de mon sommeil, jaurais pu y rester toute la nuit.
- Ça doit être ça, jai bien entendu ce qui se disait, juste des bruits confus, bon je file au WC.
Dès que la porte se referma, Gaétan ne put retenir un souffle de soulagement, il nétait pas passé loin de la correctionnelle. Il se glissa nu dans le lit conjugal comme tous les soirs, à ceci près que cette fois les images qui défilaient devant ses yeux nétaient pas nées de son imagination, mais bien de la réalité.
Il commençait à sendormir, un sourire aux lèvres quand il entendit Virginie revenir des toilettes. Elle se couchât à coté de lui, le serrant tendrement.
Pourtant quelque chose clochait, il sentit que Virginie était nue, Madame Pyjama était nue dans son lit ! Il nen revenait pas, mais ne dit rien. Lexcitation de la soirée était loin dêtre retombée et tout de suit son esprit vagabond tentait de mettre au point un scénario. Sa femme serait elle aussi un objet sexuel sur lequel il pourrait exercer son pouvoir, et ça commencerait ce soir. Il allait se retourner et ainsi mettre en pratique son film exprès, mais le doux ronflement de sa femme len dissuadât. Come souvent elle navait pas mis longtemps à se réendormir. Il ne saurait donc rien du pourquoi de ce corps nu contre le sien. A lexcitation se rajoutait la frustration du moment, mais rien ne saurait lui gâcher sa nuit peuplée de rêves érotiques avec au choix sa femme ou sa belle-sur.
6h30 Le réveil sonne, Gaétan navait jamais eu une érection matinale de cette ampleur, alors quil se levait, sa femme sen aperçu.
- Tu as lair en forme ce matin.
Ne sachant pas quoi dire, il se contentât de continuer sa route en direction des WC. Mais sa femme dhumeur taquine le suivit pour lui dire :
- Ça va ty arrives quand même ?
- Cest vrai que cest un peu dur, tu vois quand tu dors nue à mes cotés leffet que ça me fait. Il avait réussi à faire venir la conversation sur un point quelle ne souhaiterait pas continuer.
- Pff ! Nimporte quoi, figure-toi que je ny suis pas arrivée assez vite hier soir et jai dû enlever mon pyjama mouillé.
- Et moi qui croyais que tu souhaitais un petit câlin. Quelle déception.
- Oh ! Il était bien trop tard hier soir pour faire quoi que ce soit. Allez au petit déj. Je te fais couler ton café ?
- Avec plaisir ma chérie, tu sais je taime, lâchât-il sans vraiment y réfléchir, car cétait la vérité malgré labsence de sexe, il laimait et avait toujours trouvé en elle la compagne qui partagerait sa vie jusquà la fin, du moins cest ce quil pensait encore aujourdhui.
- Moi aussi dit-elle, presque dans un soupir, presque inaudible.
Retour à lordinaire, boulot sans grande passion, juste de quoi nourrir sa famille, il lui tardait de rentrer ce soir sa femme lavait appelé dans la journée pour lui annoncer quelle invitait sa sur à manger ce soir car elle avait quelque chose à leur dire. Pourquoi ? Cette question le taraudait, il avait essayé dappeler Fabienne mais navait pas réussi à lavoir.
Cest avec la boule au ventre quil rentrât, le plus tard possible dailleurs.
19H, il ouvre la porte et trouve Virginie et Fabienne en pleine discussion. Elles avaient lair sereine et heureuse, ce qui lui donnât du baume au cur.
- Bonsoir, déjà à lapéro dit-il en regardant les verres que les deux surs cétaient servies.
- Nous avions soif et en plus tu a été long à rentrer ce soir, lui dit sa femme.
Gaétan avait bien sur tout essayé danticiper pour le retour de ce soir mais rien ne se passait comme il lavait imaginé.
- Je te sers quoi mon cher beau-frère ?
- Un petit rhum vieux, je te remercie.
- Au fait tu pourrais passer me voir ce soir, je crois que jai chopé un virus, rien ne marche, jai demandé à Virginie mais elle ny connait rien.
- Bien sur je passerais après manger si cest bon pour toi. A lintérieur il affichait un grand sourire, ravi de linitiative de sa soumise. Mais à lextérieur il restait zen.
- Bien avant de passer à table, je dois vous dire quelque chose dit Virginie.
- Nous técoutons répondirent presque en chur les deux amants.
- Je sais que tu naime pas quand je mabsente Gaétan mais voilà mon patron menvoie en formation pour toute la fin de semaine. Avant que tu ne dises quoi que ce soit sache que je nai pas pu lui dire non, cette formation est très importante pour le reste de ma carrière. Après je me suis dit que comme Fabienne est juste en dessus, vous pourrez boire le café ensemble de temps en temps.
Dans la tête de Gaétan tout aller vite, un elle ne boira pas que du café soit en sûr, deux surtout ne rien laisser paraitre, trois trouver une intonation qui inspire la déception. Il enlevât très vite le sourire qui commençait à poindre sur ses lèvres.
- Rho ! Tu sais que je naime pas être averti au dernier moment, ça me laisse toujours un goût de frustration. Voilà comment transformer lautre en lui insufflant un sentiment de culpabilité, il nen était pas fier mais bon
- Je suis désolé mon chéri, mais vraiment je nai rien pu faire.
Il avait dû être convaincant, elle navait rien vu.
- Je suis obligée de partir à 4h ce matin, un taxi vient me chercher, tu finiras ta nuit tout seul.
- Pfff ! bon allez puisque tu nas rien pu faire, on ne va pas se gâcher le reste de la soirée, à la tienne ma chérie, tu me tel quand tu arrives demain ?
- Bien sur mon chéri, allez à table.
De mémoire de Gaétan, jamais une heure trente de repas avait paru aussi long. Blablas par ci, blablas par-là, bref vivement le café.
- Tu mallumes lordi, que je vois ce qui cloche, tu le mets en position. Il avait lâcher le mot espérant que Fabienne puisse le capter.
Fabienne sen va non sans avoir embrassé tendrement sa sur, en ce moment Gaétan avait presque un sentiment coupable, quil effaçât bien vite.
- Je vais faire mes bagages, si je dors quant tu arrives ne me réveille pas, je me lève tôt.
- Daccord mais réveille moi quand tu pars que je te dise au revoir.
Gaétan descendit les quelques marches pour aller chez sa belle-sur. Il décidât de rentrer sans frapper, nétait-il pas chez lui ?
Fabienne était là, nue, à genoux, jambes écartées, les mains croisées derrière la tête, les yeux baissés.
- Je vois que ça rentre, cest un bon point. Est-ce que tu tais fait jouir depuis hier ?
- Non Monsieur, répondit-elle dune voix non assurée.
- Est-ce ce que tu tes touché, lui demandât-il avec un aplomb qui ne souffrait pas une réponse négative.
- Oui Monsieur sanglotât-elle, mais je ne suis pas allée jusquà jouir, je vous le jure.
- Tu mas dit la vérité, tu auras une récompense, en revanche tu mas désobéi et cela nest pas pardonnable. Tu mérites une punition.
- Oui Monsieur, je vous demande pardon.
- Le voyage de Virginie tombe bien, tu me rejoindras dans ma chambre dès quelle sera partie. A tout à lheure.
Sa remontée fut troublée par toutes les images qui défilaient dans sa tête, ses envies, ses interdits, tout ça faisait une danse endiablée qui lui donnait limpression que jamais ça ne sarrêterait.
Ses envies, ses interdits ! Il avait souvent fantasmé sur des situations, vidéos ou récits à lappui, mais jamais il ne sétait réellement posé la question de la concrétisation. Si certaine situation lexcitait, serait-ce toujours le cas en les pratiquants ?
IL arrivât bien vite dans la chambre conjugale, sans avoir obtenu les réponses à ses questions.
Passons en revue les pratiques qui mexcitent. Jadore gifler, la figure, les seins, la chatte, donner des fessées. Allez Hop, tout ça sest classé dans lindispensable. La question des accessoires est importante, cravache, martinet, mains. Entraver, attacher, aussi. Travailler les seins et la chattes avec des pinces, des poids, on garde aussi. Les aiguilles, un interdit, déjà dans les films il faisait avance rapide alors non, on classe.
Le temps défile à une vitesse quand on réfléchit, il est déjà 23 heures, plus que 5 heures se dit-il impatient.
La cire, bof non si cest une demande pourquoi pas. Luro faisait partie des pratiques qui lexcitait énormément, là cétait obligatoire quelle le boive aussi. Le scato encore un interdit. IL adorait se faire sucer et surtout se faire boire, indispensable là aussi. Anulingus aussi avec même petite pénétration de la langue. Bon les indispensables sétoffent, minuit 30, le temps file.
Les bandeaux et cagoule, non rien dexcitant. Les plugs et autres gods indispensable aussi, il avait toujours rêvé de fister des deux côtés, mais bien sur il navait jamais pratiqué. Encore un indispensable.
Tout ça cétait pour son plaisir, la liste sallonger de plus en plus, mais une chose le taraudait. Voulait-il dune soumise à son service en permanence ou bien dune complice de jeux érotiques complétement consciente ? Même sil se posait la question, pour lui la réponse était évidente, il ne concevait pas lesclavage. La privation de liberté au quotidien lui était insupportable. Il avait de toute façon besoin dune partenaire consciente de ses choix et qui vivrait sa soumission pleinement.
Il lui faudra questionner Fabienne pour savoir ce quelle attendait comme pratiques. Bien sur la frustration était pour lui un moteur fort dans les questions de soumission.
2h30 il sendormit brusquement.
4h, Virginie vient lui faire un bisou tendre qui le sort à peine de sa demi-conscience.
- Je men vais rendors-toi, je crois que tu fais de beaux rêves, tu nas pas arrêté de gémir. Bisous mon chéri, amuse-toi bien.
- Merci grognât-il Toi aussi passe une bonne semaine.
IL commençait à se rendormir, sa femme était partie, sans bruit, quand il entendit des pas venir vers sa chambre. Vite ! il fallait quil retrouve une posture dominante, il navait pas réussi à émerger mais là cétait urgent.
Il la vit rentrer dans la chambre nue.
- En position, lâchât-il dune voix forte, aussitôt suivi de lexécution de lordre.
Il avait décidé de la faire attendre, pour mesurer son degré dobéissance. Il partit dans la cuisine se faire un café, histoire de se réveiller un bon coup. Dix minutes plus tard il entre dans la chambre, elle était toujours là en position, les tressautements certes discrets mais bien visibles de ces bras en apportait la preuve.
- A quatre pattes ! lordre fit à Fabienne le même effet que si un fouet avait claqué à côté delle.
Cette position même inconfortable lui permettrait de reposer ses bras, songeât-il.
- Tu vas être ma soumise complète pendant 4 jours, es-tu prête à cela ?
- Oui Monsieur
- Tu as bien compris que tu peux arrêter à tout moment si cela ne te convient pas ?
- Oui Monsieur, dit-elle en contemplant le parquet de la chambre de sa sur, les bras et les genoux commençait à lui faire mal. Son poids ne laidant pas dans cette situation.
- Bien, debout maintenant, position N°2.
Elle obéissait sans se poser de questions, elle avait décidé de sabandonner complètement, elle avait confiance en Gaétan, et souhaitait vivre de façon intense ces 4 jours ensemble.
- Tu te feras porter pâle pour la semaine, nous serons tranquilles ainsi.
- Oui Monsieur.
- Descends chercher tout tes accessoires, martinet, gods, plugs, pinces. Tu devrais déjà être revenu.
- Oui Monsieur.
A peine avait-il entendu la réponse tant sa course fut rapide. Il en sourit. Bon maintenant assurer. Elle doit-être punie pour sêtre touchée sans autorisation. Oui mais quelle punition ? Punir une soumise qui prend plaisir à la souffrance cest à minima lui donner du plaisir, alors quelle utilité à la punition ?
Il neut pas le temps de trouver la réponse, Fabienne était revenue avec tout son attirail, quelle déposât sur le lit. Elle se remit aussitôt en position.
- Voyons voir ce que tu as ramené.
2 martinets, un en cuir et lautre en silicone, 1 paddle, 1 bâillon boule, 1 bâillon spider pour écarter les mâchoires, des pinces, des chaines, des poids, 1 rabbit, des boules de geisha, 2 gods de taille différente, 3 plugs. Un inventaire à la Prévert !
- Te rappelles-tu que tu dois être punie ?
- Oui Monsieur.
- Que mérites-tu comme punition ?
- Tout ce quil vous plaira Monsieur.
Elle avait répondu juste et cela lui plaisait beaucoup.
- Ce soir tu ne jouiras pas non plus, pour cela il faut être exemplaire et cest loin dêtre ton cas. Tu nexpérimenteras aucun de ces accessoires. Un seul servira, parce que je te le ferais porter en continu. Tu as compris ?
- Oui Monsieur.
Il avait senti la frustration dans sa voix, elle devait se réjouir de commencer dès cette nuit, mais cela lui apprendra.
- Que faudra-t-il que tu fasses pour enfin avoir le droit de jouir ?
- Être obéissante et tout acceptée sans rechigner Monsieur.
- Voilà tu as compris, tu vois que ce nest pas trop dur. Apporte-moi le plug le plus petit.
Elle lui donna en main, le plus petit plug faisait 12 par 6,5cm ce qui était une taille déjà honorable.
- Tourne-toi, penche-toi et écarte tes fesses avec tes mains.
Cette position était humiliante, mais lhumidité de sa chatte trahissait son excitation. Que naurait-elle pas donné en cette instant pour se caresser ou sentir une bonne bite au fond de son trou. Elle sentit Gaétan cracher sur sa rondelle et tenter lintromission sans plus de fioriture. Elle savait que ce serait dur et pensait même que ce serait impossible. Il passât le plug sur ses lèvres et recueillit assez de mouille pour lubrifier lengin. Il rentrait petit à petit, mais le plus dur était à venir, la partie la plus large nétait pas encore passée, elle lappréhendait.
- Fait un effort sinon tu vas vraiment le sentir passé.
Elle redoubla deffort, poussa comme si elle en avait envie pour aider lintroduction. Pas facilement mais elle finit par sentir son sphincter se serrer autour de la base. Ça lui avait fait mal, mais rien dinsurmontable, il savait quelle serait capable de cet effort.
- Tu vois que tu peux y arriver, il suffit que tu fasses un petit effort et ça passe. Tu garderas ce plug jour et nuit, tu ne lenlèveras que pour aller chier et te laver.
- Oui Monsieur.
Elle navait jamais vécu une telle situation et ce demandait comment cela aller se passer. Déjà elle le sentait bien en elle ce qui la fit mouiller encore plus.
- Ton trou nétait pas propre, cest la dernière fois, sinon il y aura dautres punition, tu feras des lavements pour que cela ne se reproduise pas, je naime pas les souillons.
- Oui Monsieur, dit-elle humiliée par la situation.
- Pour ce soir étant donné ta punition, tu vas toccuper de mon plaisir. Dans le congélateur il y a un verre va le chercher.
Depuis quil avait éjaculé dedans la première fois, il en avait profité pour recommencer et lavait rempli à moitié. Fabienne curieuse regardait ce verre et son contenu. Ça ressembler à une espèce de glace dont elle ne reconnaissait pas le parfum.
- Voilà Monsieur, lui dit-elle en tendant le verre.
- Tu sais ce que cest ?
- Non Monsieur.
- Cest le fruit de 4 masturbations, jai décidé de ne plus rien gâcher, à chaque fois que tu ne seras pas là pour me vider les couilles, je remplirais ce verre, pour plus tard.
Son langage devenait de plus en plus cru, ce nétait pour déplaire à Fabienne. Mais boire du sperme décongelé, ce nétait pas inscrit dans ses fantasmes. Lexpérience la tenté mais elle se posait bien des questions. Quel goût ça aura, y aura-t-il des grumeaux, pourra-t-elle le boire sans haut le cur ? Bref pourra-t-elle faire plaisir à son maitre ?
Il était fier de son initiative et savourait ce moment de flottement chez sa soumise.
- Réchauffe-le entre tes mains. Et lèche moi le cul.
Joignant le geste à la parole, il sassit dans le fauteuil, jambes relevées pour quelle puisse avoir accès facilement à son trou du cul. Il était particulièrement sensible et adorait les anulingus bien marqués. Elle savançait vers lui
- Retourne à la porte, mets-toi à genoux et viens jusquà moi comme ça, tu cherches vraiment la punition.
- Pardon Monsieur.
Elle se mit sur le pas de la porte et à genoux entamât le chemin vers le cul de son maitre. Le plug lui procurait des sensations bizarres, tantôt agréable, tantôt très désagréable. Là, à genoux et cheminant cétait la deuxième sensation qui prenait le pas.
Arrivant nez à cul, elle commence à promener sa langue sur le tour de ce trou, il sentait bon. Sa langue se fit plus pressante et lécher activement ce petit trou. Elle sentit la main de son maitre qui lui agrippa les cheveux et poussa sa tête bien contre faisant pénétrer sa langue plus profondément, tandis que son nez se trouvait par ses couilles pendantes.
Gaétan aimez cette caresse, mais ne voulez pas être submergé par la jouissance, ce qui aurait pu être le cas, avec cette pratique qui donnez tout de même un certain pouvoir à sa soumise.
- Lèche-moi les couilles et avale-les !
Elle continuait à exécuter les ordres, sans utiliser ses mains qui étaient occupé à réchauffer le contenu du verre. Elle léchait avec avidité en envie les couilles de Gaétan, les prenants alternativement dans la bouche.
- Maintenant tu me suces jusquà ma jouissance, que tu prendras en bouche en veillant à ne rien laissait sécouler.
La pipe, aux dires de tout ces amants cest ce quelle faisait le mieux. Elle voulait que son maitre en soit fier. Elle mit toute lardeur nécessaires à sa satisfaction. Elle léchait sa verge sur toute sa longueur, insistant sur son frein et son méat. Elle essayait de rentrer une partie de sa langue dans cet orifice et entre-aperçu que cela faisait son effet. Elle engouffrât sa pine pour tenter une gorge profonde, allant de plus en plus loin. Elle fini par y arrivait, un filet de bave à la commissure de ses lèvres sécoulait le long de son menton, sa langue jouait en même temps et tournait autour de sa bite.
Gaétan ne disait rien. Fallait-il vraiment quil le fasse ? Tout se passait bien, les caresses buccales de Fabienne lui procurait du plaisir qui montait crescendo. La langue qui forçait son méat était une découverte et elle était agréable. La langue sur son frein aussi lui procurait des sensations intenses. Il aurait voulu rester comme cela des heures, mais la nature est ainsi faite que lexcitation lemporte sur lendurance.
- Je vais jouir, tu me regardes et surtout tu ne perds rien.
- Hum ! parvint-elle à dire.
Il avait beau sêtre masturbé beaucoup plus que dhabitude, il fut lui-même surpris de la quantité de sperme quil lâchât dans sa bouche.
Fabienne essayait de contenir ce flot qui lui semblait ne jamais se tarir. La position commençait à lui faire mal et le plug dans son cul était désagréable. Elle se concentra sur sa mission, tout avaler et ne rien laisser séchapper. Elle sen délectait, son sperme avait bon goût, peu sucré, un peu amer et duen consistance parfaite liquide et gluant à la fois.
Gaétan lobservait fortement, guettant le moindre liquide qui passerait la barrière des lèvres de Fabienne. Elle gardât tout et avalât tout comme une bonne soumise obéissante. Elle commençait à se pousser quand :
- Non garde là en bouche je ne tai pas dit de la lâcher.
Cétait la première fois quelle gardait une bite aussi longtemps en bouche après léjaculation. Elle la sentait se dégonfler tranquillement et continuait à tourner sa langue autour.
Au bout de 5 minutes, il lui dit que cétait bon et elle pût reprendre une respiration normale. Elle mouillait abondamment, cette situation lavait excitée, il lui fallait une forte résistance pour ne pas se toucher et jouir en 10 secondes, lenvie était forte mais elle savait quil serait intransigeant.
- Fais-moi voir ce verre.
Il examina le contenu qui était redevenu liquide, il le fit tourner comme il laurait fait dun grand cru dans un verre de Bordeaux.
- Hum ! Cela me semble à point. Tu vas boire ce contenu en ne laissant rien, tu pourras te servir de tes doigts pour cela et tu me remercieras pour cette offrande.
Fabienne prit le verre, par défi et ne pas montrer son appréhension elle sappliquât à mettre rapidement le verre à ses lèvres, sapprêtant à le boire cul sec.
- Heup ! heup ! heup ! Tu nas pas lintention de gâcher ce breuvage tout de même. Applique-toi à le déguster, 3 ou 4 gorgées feront laffaire.
Il avait deviné, il était dans sa tête, cela lagaçait et lui donnait un peu de fierté aussi, cétait la preuve de son engagement total. Bon il fallait y aller. Première gorgée, shabi, cest froid, le goût nest pas top, le froid à gommer lamertume, il ne reste plus que la consistance qui elle ne change pas malgré la décongélation.
- Montre moi lintérieur de ta bouche en tirant la langue à chaque fois.
Une humiliation de plus, mais Dieu quelle aimait ça. Une deuxième gorgée, en fait ça va, juste le froid à gérer, ce nest pas ce que je préfère ce dit-elle. On ouvre la bouche, on tire la langue, jai tout avalé.
Ce petit moment improvisé plaisait beaucoup à Gaétan, une érection recommençais à se former. Cétait jouissif de voir cette femme, cette petite grosse dont il admirait les formes, à genoux devant lui en train de boire son sperme. Troisième et dernière gorgée, elle semblait avoir pris du plaisir à cette pratique, elle sera à renouveler.
Le verre était vide.
- Tu vas dans la cuisine, tu le laves et tu vas dans la baignoire.
Elle sexécuta rapidement et se positionna, allongée dans la baignoire.
Gaétan arrive, ouvre le robinet sur tiède/froid et commence à la laver. Fabienne surprise se laisse faire et apprécie la douceur de ces gestes. La nuit va bien se finir ! Une fois lavée et rincée, Fabienne prend appui sur les rebords et fait mine de se lever.
- Qui tas dit de te lever. Tu fais vraiment tout pour ménerver. Reste dans la baignoire. Sèche-toi comme ça, lui dit-il en lui lançant une serviette.
Fabienne était surprise et bafouilla.
- Pardon Monsieur, javais cru
- Arrête de croire et contente toi dobéir. La séance nest pas finie.
Fabienne pris la serviette et sessuya tant bien que mal dans cette position non usuelle.
- Je voulais te pisser sur le corps, mais ton attitude ma fait changer davis.
Fabienne nosait pas sourire mais elle était plutôt contente de ne pas recevoir de pisse, alors quelle était propre.
- Cela fait deux fois que tu prends des initiatives qui ne sont pas opportunes, tu mérites donc une punition. Mais celle-ci doit être de lordre de ce que tu naimes pas, tu es daccord ?
- Oui Monsieur, répondit-elle craintive quant à la sanction qui lui sers infligée.
- Tu mas dit avoir pratiqué luro sur le corps mais que tu navais jamais avalé ?
- Oui Monsieur. Mais où veut-il en venir ? Se dit-elle.
- Alors voilà, tu vas ouvrir la bouche, je la remplirais de pisse et tu avaleras. Tu as compris.
-
- Faut-il vraiment que je repose la question.
- Non Monsieur, désole, oui Monsieur.
- Ouvre la bouche.
Elle navait jamais voulu franchir le pas, mais elle se sentait vaincue, lenvie de jouir était toujours là malgré les frustrations.
Gaétan visait la bouche, mais faisait exprès de dévier par moment et son jet frappait son visage, ses cheveux. Il la vit déglutir et avalait comme elle pouvait gorgée par gorgée le liquide doré. Elle ny parvenait pas à chaque fois et le surplus sécoulait sur ses seins et son dos.
Fabienne faisait des efforts, elle essayait de tout boire mais ce nétait pas facile. Elle ne se concentrait pas sur le goût juste à bien tout avaler. Elle en recevait sur les cheveux, sur les yeux, ce qui lempêchait de les garder bien ouvert, vivement la douche qui la laverait de tout ça.
La source se tarit et Fabienne récupérer son souffle.
- Cest bien, tu es une bonne chienne, je suis très content de toi. Maintenant tu peux te lever.
Fabienne se lève et attend, elle avait failli prendre le pommeau de la douche mais cétait ravisé au dernier moment.
- Sors de la douche et essui-toi les pieds, tu me suis dans la chambre.
Elle voulait linterpeller, maitre vous avez oublié de me laver. Mais elle savait quelle devait se taire et commençait à comprendre quelle devrait rester souillée.
- On va pouvoir se recoucher, on doit dormir un peu.
Fabienne rester debout attendant lordre de se coucher à coté de son maitre, mais à la place.
- Prends la couette, installe là par terre à coté du lit. Bonne nuit !
Humiliée encore une fois elle prit la couette du lit et se fit une paillasse sur le côté. Aussitôt elle se mis à repenser à tous ce quelle avait vécu, sincèrement elle avait tout aimé, même ce pour quoi elle nétait pas prête, peut-être plus dailleurs, elle voulait jouir, ça cétait une certitude. Elle ne mit pas longtemps pour sendormir malgré la sensation lancinante qui se faisait jour dans son cul.
Gaétan se coucha en boule sur le côté, montrant son dos à Fabienne. La première partie fut intense, jai intérêt à assurer pour la suite. Cest sur cette réflexion, que le sommeil trouvât son chemin.
Nos deux amants sendormir du juste.
A suivre
N'hésitez pas à me laisser des commentaires.
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